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Marie-Castille Mention Schaar, rĂ©alisatrice et coscĂ©nariste Ce qui a dĂ©clenchĂ©, c’est une conversation simple, mais que je n’avais jamais entendue. Il s'agit d'une conversation qui a eu lieu il y a quelques annĂ©es entre Jacob Hunt -qui Ă©tait le sujet d’un documentaire que mon coscĂ©nariste a fait sur la transidentitĂ©, Coby- et son frĂšre ainĂ©. Le sujet Ă©tait la situation dans laquelle il se trouvait, Ă  savoir qu’il devait faire son hystĂ©rectomie procĂ©dure chirurgicale qui consiste Ă  enlever l'utĂ©rus, Ndlr., et en mĂȘme temps, il avait trĂšs envie de devenir pĂšre, de fonder une famille avec sa compagne, qui avait une angoisse terrible de la grossesse. Il rĂ©alisait qu’il Ă©tait le seul dans leur couple qui, le plus naturellement possible, pouvait porter leur enfant, ce qui n’était pas du tout Ă©vident pour lui. D’ailleurs, il ne l’a pas fait. Mais cette discussion a dĂ©construit pour moi beaucoup de choses par rapport Ă  ce qu’est ĂȘtre un parent, Ă  ce dĂ©sir trĂšs fort de parentalitĂ©, et Ă  la difficultĂ© que certains ont pour y accĂ©der. Tout d’un coup, le public voit ce personnage, cette histoire d’amour, quelque chose d’incarnĂ©. Cela enleve ce cĂŽtĂ© un peu tabou, irrĂ©el, fantasmĂ©, alors qu’en fait, c’est trĂšs simple. J’ai beaucoup parlĂ© avec Jacob suite Ă  ce documentaire, et je me suis plongĂ©e dans des recherches pour dĂ©couvrir que des milliers d’hommes trans aux Etats-Unis portaient leur enfant chaque annĂ©e. DĂ©couvrir ces parcours, ces combats, ces difficultĂ©s... Tout ça pour arriver Ă  ce Ă  quoi des millions de gens arrivent avec facilitĂ© sans mĂȘme se poser de questions, sans avoir aucun problĂšme de lĂ©gislateur qui vient vous dire "oui, vous avez le droit d’ĂȘtre parent". C’est aussi pour ça que j’ai fait le film. Parce que tout d’un coup le public voit ce personnage, cette histoire d’amour, quelque chose d’incarnĂ©. Cela enleve ce cĂŽtĂ© un peu tabou, irrĂ©el, fantasmĂ©, alors qu’en fait, c’est trĂšs simple. Pour aborder ce sujet, vous avez dĂ» faire certains choix de mise en scĂšne. Il y a des images fortes, mais sans ĂȘtre pour autant dans la dĂ©monstration...Marie-Castille Mention Schaar Ce qui Ă©tait important pour moi Ă©tait d’ĂȘtre au cƓur du sujet et donc du ressenti. Il fallait que le public puisse s’identifier, mĂȘme si au dĂ©part il se sent peut ĂȘtre trĂšs loin de cette question, de cette histoire. Et c’est ça qui est incroyable dans les projections que l’on fait... Les gens s’identifient ce dĂ©sir de fonder une famille, l’amour qu’on peut avoir avec son conjoint, sa conjointe et qu’on ait envie de transmettre cette histoire d’amour et en faire une filiation, les gens se reconnaissent. A la fin du film, beaucoup se disent "En fait, ces personnes me ressemblent. Je leur ressemble. C’est quoi le problĂšme ?". Quel est justement le public que vous aimeriez toucher ? Il y a sans doute l'idĂ©e d'intĂ©resser des spectateurs pas forcĂ©ment sensibilisĂ©s Ă  ces sujets et les faire changer d'avis comme vous le disiez...Marie-Castille Mention Schaar C’est exactement ce que j’ai envie de faire. Sachant que ceux qui ont les plus gros a priori, il est peu rĂ©aliste de penser qu’ils viendront. D’autres, en revanche, viennent par exemple parce qu’ils ont vu d’autres de mes films. Ils viennent meme si au dĂ©part le sujet ne semble pas les concerner. Les spectateurs sont souvent Ă©tonnĂ©s de voir Ă  quel point le film dĂ©construit certaines choses dans leur esprit. Et puis, ils font des commentaires Ă  la fin oĂč ils se disent extrĂȘmement surpris de leur rĂ©action justement. Ils sont Ă©tonnĂ©s de voir Ă  quel point le film dĂ©construit certaines choses dans leur esprit. Ce qui ressort pour eux, c’est des notions toutes simples auxquelles ils s’identifient, donc ils sont heureux de ça. Ces rĂ©actions sont vraiment touchantes. Avez-vous Ă©galement pu prĂ©senter, au cours de ces avant-premiĂšres, Ă  la communautĂ© trans ? Marie-Castille Mention Schaar On a fait une projection organisĂ©e par ReprĂ©sentrans qui est une association qui a Ă©tĂ© créée aprĂšs les premiĂšres projections de A good man il y a un an justement pour aider Ă  visibiliser tous les acteurs. Parce que j’avais beaucoup de problĂšmes pour y avoir accĂšs. La projection s’est trĂšs bien passĂ©e. Mais c’est la mĂȘme chose ceux qui sont venus avaient un esprit ouvert sur le sujet. Au dĂ©part, ils venaient aussi certainement avec leur propre rĂ©serve sur le film. Il y a eu des films qui abordent la transidentitĂ©, la transition, qui ont fait d’énormes faux pas, des choses violentes pour la communautĂ© qui en avait assez de ces erreurs. Il y a eu des films qui abordent la transidentitĂ©, la transition, qui ont fait d’énormes faux pas, des choses violentes pour la communautĂ© qui en avait assez de ces erreurs. Mais je crois qu'ils ont vu ma dĂ©marche sincĂšre par rapport au public le plus large, pour que le public le plus large avance avec ces sujets. Et puis, comme ceux qui peuvent ĂȘtre trĂšs radicaux dans le fait qu’un homme trans qui porte son enfant consdĂšre que ce n’est pas possible, il y a ceux aussi dans la communautĂ© trans qui sont toujours radicaux qui n’iront pas voir le film. Juste par le fait que je n’ai pas pris un acteur trans pour interprĂ©ter le rĂŽle, certains resteront fixĂ© lĂ -dessus. C’est bien dommage, mais c’est comme ça. Je ne peux rien y faire et ça leur appartient. Parlons de ce choix justement qui a Ă©tĂ© trĂšs commentĂ© il y a un an. Il s'agissait pour vous de poursuivre votre collaboration avec NoĂ©mie Merlant, et peut ĂȘtre car il s'agit d'un nom identifiable pour l'affiche du film ? Marie-Castille Mention Schaar ForcĂ©ment, car je produis mes films aussi. Il y a une difficultĂ© Ă  aller chercher des financements surtout sur ce genre de sujets. Il y a la notoriĂ©tĂ© et le talent qui vient avec la notoriĂ©tĂ©. Ce n’est pas juste la notoriĂ©tĂ©, mais comment les chaines qui investissent connaissent le travail et le talent d’un acteur ou d’une actrice. Mais j’ai quand mĂȘme voulu rencontrer des acteurs trans pour voir si je pouvais trouver. J’en ai rencontrĂ© trĂšs peu. En considĂ©rant leur expĂ©rience et leur capacitĂ© Ă  incarner ce personnage qui est compliquĂ© Ă  interprĂ©ter. En partant du principe que le vĂ©cu n’est pas gage d’interprĂ©tation, c’est mĂȘme souvent le contraire. Quand on a vĂ©cu quelque chose ou quand on joue soi-mĂȘme, c’est parfois beaucoup plus compliquĂ©. InterprĂ©ter, incarner un personnage, c’est un travail, une technique. C’est important justement de faire en sorte qu’ils puissent accĂ©der Ă  des rĂŽles, Ă  n’importe quels rĂŽles. Etre un acteur, c’est ça. Il y a aussi le fait qu’il y avait quelques passages du film qui Ă©taient avant la transition du personnage de Benjamin, et ça c’était compliquĂ© pour certains, mĂȘme Ă  imaginer interprĂ©ter. Et puis aussi par rapport Ă  l’expĂ©rience. Peu d’acteurs trans ont une expĂ©rience cinĂ©matographique. Par contre, c’est important justement de faire en sorte qu’ils puissent accĂ©der Ă  des rĂŽles, Ă  n’importe quels rĂŽles. Etre un acteur, c’est ça. C’est pouvoir accĂ©der Ă  n’importe quel rĂŽle, n’importe quel vĂ©cu. C’est important que toutes et tous puissent avoir accĂšs Ă  du travail pour justement construire leur expĂ©rience et leur carriĂšre. Jonas Ben Ahmed, vous avez Ă©tĂ© le premier acteur trans en France Ă  jouer dans une quotidienne, Plus belle la vie sur France 3. Aujourd'hui, vous ĂȘtes le premier acteur trans en France Ă  jouer un rĂŽle cisgenre au cinĂ©ma... Jonas Ben Ahmed, acteur Dans le cinĂ©ma français, Ă  ce que je sache, oui, il n’y a pas encore de personne trans ayant interprĂ©tĂ© un personnage cis sur le grand Ă©cran français. Donc, oui, je me retrouve Ă  refaire une premiĂšre. Je ne cherchais pas Ă  ĂȘtre le premier, mais je cherchais Ă  avoir un rĂŽle qu’AprĂšs plus belle la vie, on ne m’a proposĂ© que ça. Soit des personnages trans, soit aussi des personnages d’arabes dealers de rĂ©sine de cannabis en bas des quartiers Nord de Marseille. Je trouve ça trĂšs rĂ©ducteur de vouloir jouer sur mon identitĂ© de genre ou mon identitĂ© culturelle comme si je ne pouvais jouer que ça. C’est rĂ©duire le mĂ©tier d’acteur, et d’ailleurs je n’aime pas trop l’expression acteur trans, parce que trans est un adjectif qualificatif, et ça en ferait un mĂ©tier Ă  part entiĂšre. Or moi mon mĂ©tier, c’est d’ĂȘtre acteur. Plus belle la vie la sĂ©rie de France 3 va traiter de la transidentitĂ© et accueillir un acteur transgenre Marie-Castille a Ă©tĂ© la premiĂšre cinĂ©aste Ă  l’avoir vu, mĂȘme si de base elle m’avait vu pour le rĂŽle de Benjamin. J’ai passĂ© les essais pour ce rĂŽle, mais on a vu, elle comme moi, que lĂ  n’était pas ma place pour moult raisons, dont celle-ci, me rĂ©duire Ă  mon identitĂ© de genre. Ce n’est pas mon mĂ©tier. J’ai eu la chance que quelqu’un voit ça, et que quelqu’un lui dise aussi "t’as pas assez d’expĂ©rience pour un rĂŽle principal". Mais comment fait-on pour en avoir si on ne t’en propose pas ? C’est le cas dans n’importe quel mĂ©tier. Tout le monde te demande de l’expĂ©rience, mais on ne veut pas te la donner. J’ai eu la chance d’avoir ce rĂŽle dans A good man. DĂ©sormais, vous n'accepterez que des rĂŽles cisgenres ? Jonas Ben Ahmed Il va falloir que je fasse plus de rĂŽles cis pendant un moment pour me dĂ©tacher de la transidentitĂ©. Que ça ne soit pas "on va appeler Jonas parce que le rĂŽle est trans". Mais parce que le rĂŽle me correspond, au-delĂ  de la transidentitĂ©. Il y a deux maniĂšres de militer quand on est un acteur concernĂ© par la transidentitĂ©, c’est soit de ne vouloir jouer que des rĂŽles trans. C'est un choix que je peux comprendre; chacun Ă  ses raisons. Soit justement prendre la contrepartie et se libĂ©rer de ses chaines et justement proposer autre chose. Jonas Ben Ahmed dans Plus belle la vie Avez-vous reçu beaucoup de retours aprĂšs Plus belle la vie ? Il y a l'importance, l'enjeu de la reprĂ©sentation avec un rĂŽle comme celui-lĂ , Ă  une heure de grande Ă©coute Ă  la tĂ©lĂ©vision. Jonas Ben Ahmed Oui, j’ai eu beaucoup de retours. Les plus nombreux n’ont pas Ă©tĂ© les personnes trans qui m’ont Ă©crit sur les rĂ©seaux sociaux. Ce sont plutĂŽt des personnes cis qui m’ont Ă©crit, en me disant qu’en me voyant Ă  la tĂ©lĂ©, ils ont compris ce qu’était la transidentitĂ©, et qu’ils voyaient qu’il n’y avait pas de problĂšme. Une fois sensibilisĂ© Ă  la transidentitĂ©, ils ont compris quelque chose. Et je rejoins Marie-Castille sur le mot "incarner" quand ils voient une personne, oui, peut ĂȘtre que ça dĂ©bloque quelque chose dans leur tĂȘte, peut ĂȘtre que ça vĂ©hicule une vie. DerriĂšre une transidentitĂ©, il y a un parcours. C’est ça qu’a permis Plus belle la vie. Plus belle la vie Jonas Ben Ahmed, personnalitĂ© LGBT de l'annĂ©eJ’ai aussi eu de trĂšs beaux messages de personnes trans, pas pour elles, mais plutĂŽt pour leur coming out auprĂšs de leurs grands parents. C’est ça qui est drĂŽle avec Plus belle la vie. La moyenne d’ñge est ĂągĂ©e et on croit que c’est la population qui ne comprendrait pas. Au final, tu te rends compte qu’en t'invitant dans le foyer de tout le monde, Ă  une heure de grande Ă©coute, ça peut vachement changer la donne. Des gens me disaient qu'ils avaient trĂšs peur de faire mon coming out auprĂšs de mes grands parents, car ils sont loin de ces thĂ©matiques lĂ . Et quand ils commençaient leur coming out, ils les coupaient en disant "t’inquiĂšte pas, on a tout vu dans Plus belle la vie". Au final, ils faisaient attention de ne pas mĂ©genrer, de l’appeler par son prĂ©nom et non plus par son "dead name". C’est mĂȘme un mot qu’ils ont prononcĂ© eux-mĂȘmes et je trouve ça beau. Comme quoi, il faut faire un peu de pĂ©dagogie, et pour moi, la fiction, c’est un moyen de la faire. Comme quoi, il faut faire un peu de pĂ©dagogie, et pour moi, la fiction, c’est un moyen de la faire. Tu le vois incarnĂ© et ça change quelque chose dans ton cerveau. MĂȘme quand ce sont des parcours loin du tien, il y a une identification, et ça change beaucoup de choses. C’est pour ça que j’aime beaucoup ce film; ça peut changer beaucoup de choses. PODCAST - SĂ©ries LGBT Netflix et les autres plateformes de streaming ont-elles rĂ©volutionnĂ© les reprĂ©sentations ? Y a-t-il des films ou sĂ©ries qui ont comptĂ© pour vous justement dans votre parcours ? On parle d'images manquantes. Etait-ce le cas pour vous ? Avez-vous manquĂ© de reprĂ©sentations ? Il y a clairement des images manquantes, mais vis-Ă -vis de mes deux identitĂ©s. Pour la reprĂ©sentation des personnes trans certes, mais aussi de personnes arabes. J’ai compris, trĂšs rĂ©cemment, que si mon Disney prĂ©fĂ©rĂ© Ă©tait Aladdin, il y avait une vraie raison ! Et en plus gĂ©nial, c’est le Roi des voleurs ! Heureusement les choses changent et on a de plus en plus de visibilitĂ©. C’est avec la sĂ©rie The L Word que j’ai pu comprendre, non pas ma transidentitĂ©, mais d'avoir un personnage trans qui m’ a permis de m’outer auprĂšs de certianes personnes auprĂšs desquelles c’était trop dur Ă  dire. J’avais du mal Ă  poser le mot trans sur mon identitĂ© au tout dĂ©but. Et ce personnage m’a aidĂ© Ă  ça. Clairmement, il m’a aidĂ©. J’ai compris tout rĂ©cemment en revoyant la sĂ©rie, car elle Ă©tait disponible sur une platefome de streaming, que si j’aime autant les dĂ©bardeurs, ça vient probablement de lĂ  ! Si j’ai rĂȘvĂ© d’avoir ce torse plat en dĂ©bardeur, il y a peut ĂȘtre un lien ! Donc c’est une sĂ©rie qui m’a aidĂ© Ă  m’outer auprĂšs de certaines personnes. Cela m’a fait un grand bien. CĂ©sar 2020, Portrait de la jeune fille en feu... NoĂ©mie Merlant prend la parole

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